Des nouvelles pour ceux et celles qui ne suivent pas mes péripéties (assez tranquilles, merci!) sur Facebook: Dix envois à des maisons d'édition, aucune réponse (positive ou négative) pour l'instant.
Je pratique le lâcher-prise et la patience. Meuh non, je ne regarde pas mes courriels cent fois par jour et je prends le temps d'enlever mes souliers avant d'aller consulter l'afficheur du téléphone quand j'arrive à la maison... Donc, c'est à peu près où se situe mon degré de zénitude.
Un jour, un jour... !!!
L'important est que la suite va bon train et que j'ai du plaisiiiirrr à écrire. Quoique sur cette photo, je n'en ai pas l'air. Détrompez-vous! C'est juste qu'écrire est tout une gymnastique mentale. Je commence à me fier à mon feeling. Si je ne ressens pas de "thrill" à relire ce que j'ai écrit, c'est que ça ne marche pas. Il faut que ça soit punché, que ça coule comme un film dans ma tête. Si le mot "Ouin..." me vient dans la tête, c'est pas fort. J'aime pas les "Ouin!" Il faut que ça torche!
Je me découvre des techniques aussi. Je n'ai fait aucun cours en création littéraire, donc c'est n'importe quoi. J'avais un gros chapitre de 34 pages qui me pesait. L'autre soir, j'ai pris les choses en main. J'ai fait un gros "couper-coller" en vrai, oui oui, avec des ciseaux, du papier collant et un gros verre de vin (ça, c'était pour ma bouche!) Et mon impitoyable critique intérieure a sévi. Trop cucul, trop long, pas là, ici. Dans mon fichier Word, c'est Clara (mon personnage principal) qui s'exprime. Une fois les pages imprimées, c'est plus elle, c'est Annie qui écrit. Ça a été pas mal libérateur d'annoter, de raturer des parties. J'ai pris le contrôle et j'ai démêlé le tout. Un bon exercice finalement, puisque ça m'a permis de continuer sur le bon pied.
Je me découvre des techniques aussi. Je n'ai fait aucun cours en création littéraire, donc c'est n'importe quoi. J'avais un gros chapitre de 34 pages qui me pesait. L'autre soir, j'ai pris les choses en main. J'ai fait un gros "couper-coller" en vrai, oui oui, avec des ciseaux, du papier collant et un gros verre de vin (ça, c'était pour ma bouche!) Et mon impitoyable critique intérieure a sévi. Trop cucul, trop long, pas là, ici. Dans mon fichier Word, c'est Clara (mon personnage principal) qui s'exprime. Une fois les pages imprimées, c'est plus elle, c'est Annie qui écrit. Ça a été pas mal libérateur d'annoter, de raturer des parties. J'ai pris le contrôle et j'ai démêlé le tout. Un bon exercice finalement, puisque ça m'a permis de continuer sur le bon pied.
Note à moi-même: sévir à nouveau!
J'ai cliqué sur la photo pour essayer de lire les pages. Je suis trop curieuse! On voit rien! Ha Ha Hah!
RépondreSupprimerC'est qui "trou de cul"?????
Ah, ça, c'est un mystère... ;p
RépondreSupprimerMoi, j'ai essayé de te trouver sur Facebook, mais il y a plusieurs Annie Quintin! Fais-moi un signe :-)
RépondreSupprimerSalut Léa Jane!
RépondreSupprimerJe suis bien cachée dans Facebook, mais je t'ai trouvée! On se jase là-bas!